« Dalles de nuages » est un projet, sous forme d’installation. C’est un ensemble de 6 pièces en ciment relief coloré, qui s’interroge sur la mutation spirituelle de l’homme contemporain par rapport au cheminement de la vie.
Pour ce projet, je m’inspire du ciel de Caen que je vois tous les jours, et de ma culture chinoise ( dans le classement de Yi King, nous avons le premier hexagramme Qián qui représente la nature du Ciel). Le mouvement du ciel est changeant comme notre vie sur terre. Et je m’inspire également d’un discours d’Alfred Stieglitz. Pour sa série de photos sur les nuages, titrée Equivalent, il a dit: « Mes photos de nuages sont un équivalent de mes expériences et de ma philosophie fondamentale de la vie. »1. Les nuages s’amoncellent et se dissipent. Ils sont chaotiques, troubles, négligés…en activité. Autrement dit, ils peuvent être une représentation du cerveau humain, de nos sentiments, de nos expériences, de nos réflexions.
Les dalles en relief montrent deux images différentes. Elles sont déposées, alignées au sol, et forment un chemin « abrégé », un passage de « nuage ». Les visiteurs peuvent les regarder, mais aussi marcher dessus. L’image (les nuages) change selon le déplacement ou la position de spectateur.
Les dalles sont fabriquées avec du ciment blanc, du sable et des pigments de couleur. C’est un matériau composé par des éléments insignifiants, comme la banalité de notre vie quotidienne. D’un côté, les 6 dalles forment des ciels différents selon les couleurs de la matière, avec une manière un peu aléatoire. Et de l’autre côté, c’est un ciel entier, peint à la main. Cette installation représente une métaphore : les spectateurs sont invités à entrer par son côté fragmenté. Comme dans les différentes étapes de la vie, on avance, on perçoit des changements ambigus, et au bout du « chemin », quand on se retourne, on voit la vie comme un ciel entier.
Une sélection des différents projets et travaux du cabinet d’architecture japonais Eastern Design Office, avec ces imposantes maisons en béton. Les façades sont souvent percés par de fines fentes verticales, jouant alors avec la lumière pour un rendu très réussi. Plus d’images dans la suite.
Né en 1948 à Kimbembele Ihunga, République Démocratique du Congo.Vit et travaille à Kinshasa.
Body Isek Kingelez enseigne dans une école secondaire jusqu’en 1977. Après plus d’une année d’isolement et de recherche, il réalise en 1979 une maquette étrange qui attire l’attention du directeur du Musée de Kinshasa où il devient restaurateur. C’est à partir de 1985, qu’il se consacre entièrement à son travail d’artiste qualifié par lui-même « d’Architecture Maquettique ». Kinshasa est alors une grande métropole chaotique, anarchique, toujours plus délabrée. Kingelez, témoin des ravages d’une politique peu soucieuse de la communauté, développe une œuvre d’aspect architecturale qui concentre toutes les conditions du développement de sa capitale et de son pays: habitat, éducation, justice, santé, sécurité… toute son œuvre poétique autant que politique questionne la condition humaine. Après avoir réalisé plus d’une centaine d’extrêmes maquettes à partir de matériaux de récupération, de papier, de carton, de plastique où semblent coexister et prendre forme, le Présent, l’Avenir et les espoirs d’un renouveau africain, il imagine à partir de 1992, des villes entières. Ces « villes » sont un assemblage de maquettes d’immeubles aux formes inhabituelles, de bâtiments grandioses, de complexes aux couleurs vives qui rassemblent toutes les fonctions de villes idéales que l’artiste rêve de voir édifier.
2 SOIRÉES « EN ÉCHANGES » // PHOTOGRAPHIE CONTEMPORAINE
> George Dupin, photographe, et Jean-François Chevrier, critique d’art mardi 10 mai à 18h30 à l’auditorium du Musée des beaux-arts de Caen (Le Château) rencontre suivie d’une signature des auteurs pour la sortie de SF de George Dupin et Des Territoires de Jean-François Chevrier
L’ouvrage SF a été réalisé dans le cadre d’une résidence de création au lycée Salvador Allende à Hérouville-Saint-Clair en partenariat avec le FRAC Basse-Normandie. Le lycée Salvador Allende a acquis l’œuvre réalisée par George Dupin à l’issue de la résidence.
Ce livre a bénéficié du soutien du ministère de la Culture et de la Communication, Département de l’éducation et du développement artistique et culturel ; du FRAC Basse-Normandie et du FRAC Bretagne. Jean-François Chevrier est l’auteur du texte présent dans cet ouvrage intitulé SF.
Avec l’aimable participation du Musée des Beaux-Arts de Caen
> Valérie Jouve, photographe et Michel Gaillot, philosophe jeudi 12 mai à 19h au FRAC dans le cadre de son exposition au FRAC http://www.frac-bn.org/enechange.htm
INNOVATION – Un nouveau système de dalles récupératrices d’énergie vient d’être installée dans la Ville rose…
Il n’y a rien de magique derrière tout cela. Depuis vendredi les Toulousains ont la possibilité d’éclairer un lampadaire en…marchant. La municipalité vient d’installer quinze dalles productrices d’énergie sur l’esplanade François-Mitterrand, à Wilson. Une première en France. Dès qu’un passant marche sur ces pavés high-tech, par une action mécanique le mouvement se transforme en électricité. Celle-ci est stockée et restituée la nuit tombée via le lampadaire. Un flux de 10.000 personnes permet ainsi d’allumer le réverbère durant trois heures.
Bordures de trottoirs solaires
Une innovation mise au point par une équipe de l’ENSEEIHT-INP, école d’ingénieurs toulousaine, et la société Viha concept. Cette dernière développe en parallèle des bordures de trottoirs solaires. Ces inventions pourraient rapidement se développer dans d’autres métropoles. Et pour l’adjoint en charge de l’éclairage public, c’est bien l’enjeu. «Du recyclage du mouvement de la Garonne avec les centrales électriques à la récupération de l’énergie produite par le freinage du tramway, nous voulons montrer que la ville ne fait pas que consommer, elle peut aussi produire», plaide Alexandre Marciel.
La municipalité a acheté vingt dalles productrices d’énergie pour un montant de 20.000€. Ce prototype a nécessité 80.000€ d’investissement à la société.
Guid psychogéographique de Paris: « Discour sur les passion de l’amour », 1957, Courtesy of Greil Marcus, Berkeley
P116,118
Ainsi selon Debord, le hasard n’est pas le facteur prédominant de la dérive, car sans la sensibilité psychogéographique active aux lieux, tout se réduit à une série limitée de variantes conditionnées par l’habitude(44). Debord évoque un ouvrage de Chambart de Lauwe sur Paris (1952) qui analyse les facteurs géographiques et économiques déterminant notre expérience de la ville et le quotidien réel vécu par l’individu: « le tracé de tous les parcours effectués en une année par une étudiante du XVIème arrondissement : ces parcours dessinent un triangle de dimension réduite, sans échappées, dont les trois sommets sont l’École des Sciences Politiques, le domicile de la jeune fille et celui de son professeur de piano »(45). Tandis que la négation d’un but et l’obéissance au hasard que suggère l’errance surréaliste est une forme d’écriture automatique du corps dans l’espace, un projection de l’espace mental dans l’espace physique, la théorie de la dérive, dans son caractère essentiellement urbain, repose sur une critique de la société du spectacle.Elle représente la subversion d’un état de fait, en dément l’aspect naturel et légitime, et implique une intervention, une « construction » active de situations et de significations nouvelles. En général toute pratique qui ajoute à la confusion (faire de l’auto-stop sans but un jour de grève des transports en commun) ou illicite ( errer dans les catacombes interdites) est considérée être de la dérive. Influencé par les réflexions d’Henri Lefebre sur l’envahissement de la vie quotidienne par le spectacle de la consommation, dès 1959 Debord développe une attitude sceptique quant au
« Big Fish », 2003,film, 125min
Théâtre d’ombres, 1984.
Vue d’installation
Institute of Contemporary Art,
Nagoya (japon),1990
Jean Pierre Raynaud 1000 pots bétonnés
peints pour une serre ancienne, 1986
Jean-Pierre Raynaud : 1000 pots bétonnés peints pour une serre ancienne, 1986 Installation ; Béton peint
Achat à l’artiste en 1986
Coll. F.R.A.C. Bretagne
Une partie significative du courant publications de la poésie sont disponible l’un ou l’autre seulement en ligne ou par l’intermédiaire d’une certaine combinaison de publication en ligne et en différé. Il y a beaucoup de types « de poésie numérique » comme hypertexte, poésie cinétique, animation générée par ordinateur, numérique poésie visuelle, poésie de code, poésie visuelle expérimentale, et poetries qui tirent profit du programmable la nature de l’ordinateur pour créer les travaux qui sont interactifs, ou pour employer l’approche générative ou combinatoire pour créer le texte (ou un de ses états), ou impliquent la poésie saine, ou tirent profit des choses comme des listservs, blogs, et d’autres formes de communication de réseau pour créer les communautés de écriture de collaboration et publication (comme dans poétique wikis).
Les calculateurs numériques Permettent la création de art cela enjambe différent médias: texte, images, bruits, et interactivité par l’intermédiaire de la programmation. Les poetries contemporains ont donc tiré profit de ceci vers la création des travaux qui synthétisent des arts et des médias. Si un travail est la poésie ou l’art ou la musique ou la programmation visuelle n’est parfois pas clair, mais nous nous attendons à un enclenchement intense avec la langue dans les travaux poétiques.
Epímone: Un dépôt de la poésie numérique. Morceaux de dispositifs par de divers artistes de partout dans le monde.
Eugenio Tisselli (Le Mexique) : textes algorithmiques filet-basés et logiciel poétique orienté vers la performance
Rui Torres (Le Portugal) : Chercheur et créateur de la poésie numérique.
Pionniers de poésie d’ordinateur en Europe
Nous avons quelques pionniers de l’e-poésie dans l’Europe, l’Italien se développant et le Russe Futurism, Poésie concrète, Poésie visuelle, exécution, art interactif, hypertexte :
(Barcelone 1919 – 1998) dans 1977 le poèt catalan, le dramaturge, le concepteur et l’artiste de plastique Joan Brossa expérimenté avec un ordinateur afin de composer des sestinas, un de son favori forme. Après entrée de la formule de cette poésie et des six rime-mots, l’ordinateur a composé des centaines de sestinas. Toutefois seulement un a intéressé le poèt, et ainsi a été édité sous le titre « sestina cybernétique » (Brossa, Joan. Viatge par sextina de La. Barcelone : Quaderns Crema, 1987, P. 116).
(Rome 1924 – Rome 2007) dans les 80 tôt le journaliste italien, poèt, auteur Gianni Toti commencé une expérimentation où il a mélangé la poésie, le cinéma, et l’art électronique. Il l’a appelé « poetronica ». Plusieurs de ses travaux ont été réalisés dans les années 90 en collaboration avec CICV (Centre de Recherche Pierre Schaeffer – à Montbéliard-Belfort, en France). Il est considéré le père de la poésie électronique. Parmi ses longs vidéo-poésie-opéras électroniques : Originedite (1994), Planetopolis (1993), Tupac Amauta (1997).
Poèt italien, auteur, artiste, elle a réalisé des animations de poésie d’ordinateur depuis 1990, exhibé à Rome depuis 1992. En 1997 à Venise Biennale, dedans VeneziaPoesia. Depuis 1998 elle a créé dans l’Internet Karenina.it, le premier filet-poésie sur la ligne, un projet conceptuel d’art où l’e-communication de réseau est assumée comme matériel pour l’art et poésie concrète. La Filet-Poésie a été exhibée pour la première fois à Venise Biennale en 2001 (Soute Poetico sur la ligne événement).
« Alire « (revue expérimentale d’e-poésie) (f)
Fondé par Philippe Bootz, Frédéric Develay, Jean-Marie Dutey, maillard de Claude et Tibor Papp, on le considère comme numérique-revue la plus ancienne en Europe.
« Doc. (K) s » (revue expérimentale d’art, Ajaccio, F)
Fondé par Julien Blaine. La nouvelle série (depuis 1990) a dirigé dedited près Akenaton (Philippe Castellin, Jean Torregrosa) et Julien Blaine, focalizes sur la nouvelle poésie de médias. Le « Doc. (k) s » est des multimédia et l’examen internationaux de multilanguage de l’art expérimental, poésie concrète, poésie visuelle, exécution, nouvel art de médias. Un point de référence pour l’avant-garde internationale. Dans cette revue ont été les échantillons représentatifs édités de poésie expérimentale, nouvelle poésie de médias, poésie numérique. De papier et puis +CD/DVD dans les années 90. Depuis 1997 sur la ligne.
Jean-Pierre Balpe (f)
Dans les années 90 utilise le bruit, texte, générateurs numériques d’imagege.
Reiner Strasser (soyez)
Filet-artiste depuis 1996. Travaux reliés par poésie depuis 1998 (impliquant l’image, le mot, le bruit, l’hypertexte) : r.i.c. (réflexion, imagination, communication), Sang faible (1999), Amour et conscience (1999).
Poésie d’ordinateur au Brésil
Une tradition expérimentale riche de poésie existe au Brésil. Le pionnier de la poésie de médias au Brésil est le poèt Albertus Marques, qui dans 1961 a présenté ses « poésies électriques », car il les a appelées. Albertus Marques a participé au mouvement Néo–Concret d’art. Quelques poèts qui ont participé au Poésie concrète le mouvement a adapté leurs poésies à nouveaux médias et art numérique.
B. S. Paulo 1931. Critique, poèt concret. Un des fondateurs de Poésie concrète. Dans les années 80 commence à expérimenter avec de nouveaux médias et dans le 1992-93 réalise Poema Bomba, et SOS, en collaboration avec Cid Campos. Clippoemas, des animations numériques de poésie, sont exhibées pour la première fois en 1997.
D’autres créateurs de la poésie numérique incluent :
(B. 1960 – D. 2000) Poèt expérimental, critique, professeur sémiotique dans le S. Université catholique de Paulo (Br), conservateur. Ses travaux numériques de poésie : Interpoesia, CD de la poésie d’intermedia réalisé avec l’artiste Wilton Azevedo en 1997-98. Il a collaboré avec Caterina Davinio dedans Karenina.it, filet-poésie projet (1998).
DOS Santos d’Alckmar Luiz
Auteur, poèt. En collaboration avec l’artiste Gilbertto d’ordinateur Prado a créé les poésies numériques, éditées dans le rieview le « Doc. (k) s » (f). Nous nous rappelons Circulaire de Segmento (1996, technologie : Web, directeur, flash).
Artiste, auteur. Elle a créé et édite Le musée de l’essentiel et au delà de cela, qui a une galerie importante de la poésie numérique. Ses propres travail, As Nids et magie (2007), par exemple, est le cyberliterature poétique. Elle a commencé à montrer l’art sur le filet en 1997, de sorte qu’elle soit un pionnier de web.art au Brésil.
AAVV, Luccicante de coscienza de La. Videoarte de Dalla tout le’ interattiva d’arte, Gangemi, Roma 1998
Jean-Pierre BALPE, « L’Ordinateur, muse de SA », dans le nº 39, Metz 1984 de « Pratiques »
Jean-Pierre BALPE, « littéraires d’orientations d’à de génération automatique de textes de La de dans de position de l’auteur de La », dans le nº 17, Université De Paris-x Nanterre, Nanterre, 1987 de « Lynx »
Caterina DAVINIO, « virtuali de liberté conditionnelle. Avanguardia de l’elettronica e d’arte de tra de vidéo-visiva de poesia de La », dans « le Doc. (K) S. Web de notre d’un » (CD de libro e), serie 3, 21, 22, 23, 24, Ajaccio (f) 1999
Caterina DAVINIO, « virtuali de Scritture/Realtà » dans le « Doc. (K) s » (Web), 2000
Caterina DAVINIO, Virtuali de realtà de Tecno-Poesia e (Techno-Poésie et réalité virtuelle), essai avec la préface par Eugenio Miccini (italien/anglais), Mantova, Sometti, 2002.
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